APPROCHEZ-
« Dieu aime celui qui donne avec joie »
Quel genre de cadeau vous fait vraiment plaisir ? Généralement, un cadeau offert par amour, et non par obligation ou par sens du devoir. Les motivations de celui qui donne ont de l’importance pour nous, certes, mais aussi pour Dieu ! Intéressons-
Pourquoi Paul a-
« Comme il l’a résolu dans son cœur. » Un chrétien sincère donne parce qu’il l’a décidé « dans son cœur », dit Paul. De plus, il ne se contente pas de s’intéresser superficiellement aux besoins de ses compagnons. Un bibliste explique que le terme original traduit par « résolu » « emporte l’idée de déterminer à l’avance ce qu’on va faire ». Par conséquent, un chrétien réfléchit aux besoins de ses compagnons et se demande ce qu’il peut faire pour combler ces besoins (1 Jean 3:17).
« Non pas à regret ou par contrainte. » Paul mentionne deux façons de donner qui n’ont pas leur place parmi les vrais chrétiens : à contrecœur et par obligation. L’expression grecque traduite par « à regret » signifie littéralement « par chagrin ». Celui qui donne à regret donne « d’un cœur attristé à l’idée de céder de l’argent », indique un ouvrage de référence. Celui qui donne par contrainte le fait parce qu’il s’y sent obligé. Qui d’entre nous aimerait recevoir un cadeau de quelqu’un qui l’offre à contrecœur ou par obligation ?
« Dieu aime celui qui donne avec joie. » Quand un chrétien décide de donner, il doit le faire avec joie. D’ailleurs, donner avec de bonnes motivations procure du bonheur (Actes 20:35). Celui qui donne avec joie ne peut pas cacher ce qu’il ressent. En fait, les mots « avec joie » décrivent aussi bien le sentiment de celui qui donne que l’expression de son visage. Une telle personne touche le cœur de celui qui reçoit. Et elle réjouit le cœur de Dieu. Une autre traduction dit : « Dieu aime celui qui aime donner » (Contemporary English Version).
« Dieu aime celui qui aime donner. »
Les paroles que Dieu a inspirées à Paul renferment un principe directeur pour les chrétiens. Que nous donnions de notre temps, de nos forces ou de nos biens matériels, faisons-
Lecture proposée pour septembre :